Après avoir exercé, depuis 2005, au sein de cabinets d’avocats anglais (Allen & Overy), américains (King & Spalding, Winston & Strawn) et de Big four (PwC), Stéphane Pagès, avocat au barreau de Paris, a fondé le cabinet PAGES LAW en 2018.
Diplômé d’HEC (MS), Berkeley Law School (LLM), Harvard Law School (PIL) et de l’Université Paris II-Panthéon Assas (M2), où il prépare parallèlement une thèse de doctorat en droit, Stéphane Pagès s’est classé major de promotion (sur 963 candidats), à l’examen d’entrée à la profession d’avocat et a été lauréat des bourses internationales Fulbright et CICSA (Université de Jérusalem).
Polyglotte, il maîtrise, à des degrés divers, six langues et parle couramment français, anglais, allemand et occitan.
« Son activité se concentre sur la résolution des litiges complexes, principalement devant les tribunaux français, au bénéfice d’une clientèle internationale et domestique, composée d’entreprises et de particuliers.. »
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L’expérience du cabinet PAGES LAW implique des contentieux diversifiés de droit des affaires, de responsabilité civile et pénale, de procédures collectives ou encore, par exemple, de droit immobilier et de la construction, devant tout type de juridictions françaises et occasionnellement étrangères (notamment Monaco et Luxembourg).
Particulièrement développé à l’international, PAGES LAW est ainsi intervenu, depuis 2018, dans des dossiers sur les cinq continents : Europe (France, Monaco, Royaume-Uni, Irlande, Belgique, Luxembourg, Espagne, Grèce, etc.), Amériques (USA, République Dominicaine, Iles Vierges Britanniques, Bahamas, Panama, etc.), Afrique (Maroc, Tunisie, Côte d’Ivoire, etc.), Asie (Taïwan, Singapour, Turquie, Russie, Arabie Saoudite, etc.), Océanie (Polynésie française, etc.).
Durant sa carrière, Stéphane Pagès est intervenu dans diverses affaires médiatiques (impliquant le programme « Pétrole contre nourriture » des Nations Unies, des banques suisses de premier plan, une entreprise détenant un monopole de jeux d’argent, des affaires de discrimination, la légalisation du CBD, etc.), ainsi que de nombreux dossiers pour et contre des sociétés du CAC 40.
Il a été détaché en Suisse (Zurich, Genève), au siège social de banques, dans le cadre d’affaires d’évasion fiscale ayant donné lieu à une amende de 2,8 milliards US$ et à la première convention judiciaire d’intérêt public, d’un montant de 300 millions d’euros.
S’agissant plus particulièrement du contentieux international, il a parallèlement développé une activité d’enseignement, à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne, au niveau Master 2, durant plusieurs années, ainsi qu’une activité de recherche, à Berkeley Law School (USA).